Dans le cadre de ses études, Dorothée a effectué un stage au service recherche et plaidoyer.

Comment as-tu connu la CNAPD ?

En recherchant sur internet un stage dans le cadre de mes études en sciences politiques (Master 2).

Qu’as-tu fait à la CNAPD, sur quels projets as-tu collaboré ?

J’ai participé au « Contre-sommet de l’OTAN » au Pays de Galles, à la Plateforme d’opposition au renouvellement des F-16, au Tribunal Russell sur la Palestine, à la rédaction de l’article sur « Afghanistan : l’échec cinglant de 13 ans de guerre », à l’analyse de l’accord de gouvernement, à la rédaction du CAP Eau n°4, etc.

Comment as-tu vécu ton passage au sein de l’association ?

Cette expérience dans le milieu professionnel était très enrichissante, j’ai pu effectuer une multitude d’activités, de projets, de recherches et rédiger des analyses de texte, de manière critique. La diversité des activités était une bonne chose afin de ne pas rester cloisonner sur un même sujet. Cela m’a permis de « toucher un peu à tout ». La participation à l’extérieur, lors des manifestations, a été une bonne expérience, permettant également le débat et le dialogue avec d’autres personnes. Ce stage m’a fourni une expérience approfondie et nécessaire dans le prolongement de mes études et m’a permis, notamment, de sortir de la neutralité académique, dans les différents points de vue engagés. »

Pour toi, la CNAPD ça représente…

Une organisation qui n’a pas peur de prendre position sur des enjeux de société, qui informe et sensibilise sur des sujets d’actualité (l’eau, l’OTAN, les enjeux des énergies, les discriminations diverses, les politiques deux poids deux mesures dans le but d’intérêts géopolitiques, etc.) afin de démontrer l’importance d’une justice équilibrée et efficiente.

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